Rachida, tu es notre modèle à toutes
J'ai le plaisir de vous dire que, une couverture dans les bras, courant à la sortie de la clinique, les programmes reprennent du service. Très fort.
Avec un léger biais cependant.
Dorénavant, finis les choix impulsifs, terminées les envies suscitées par une bande annonce racolleuse, out l'ère du bling bling. Dorénavrant, ce qui compte une deux trois, ce sont les minutes.
Clones 85 min : efficace de rapidité. En plus, comme on comprend le principe assez vite (dans le futur, les gens vivent à travers des clones pour faire plein de bétises, un peu comme dans une Matrix mais en silicone et en plus nul), on se dit qu'il aurait même pu faire un peu mieux. Un format de 20 mn aurait touché la perfection.
(500) jours ensemble 96 min : traîne un peu longueur quand même. Pour les quelques midinettes qui ne l'ont pas encore vu, l'acteur dont le nom doit tourner autour de Lewit vaut le détour tellement il est trognon mignon. Mais c'est bien tout.
Avec un léger biais cependant.
Dorénavant, finis les choix impulsifs, terminées les envies suscitées par une bande annonce racolleuse, out l'ère du bling bling. Dorénavrant, ce qui compte une deux trois, ce sont les minutes.
Clones 85 min : efficace de rapidité. En plus, comme on comprend le principe assez vite (dans le futur, les gens vivent à travers des clones pour faire plein de bétises, un peu comme dans une Matrix mais en silicone et en plus nul), on se dit qu'il aurait même pu faire un peu mieux. Un format de 20 mn aurait touché la perfection.
(500) jours ensemble 96 min : traîne un peu longueur quand même. Pour les quelques midinettes qui ne l'ont pas encore vu, l'acteur dont le nom doit tourner autour de Lewit vaut le détour tellement il est trognon mignon. Mais c'est bien tout.
Le petit Nicolas 90 min : beaucoup trop long. D'ailleurs vous pouvez tout à fait vous passer de ce film énervant comme la tête à claques de ce petit Nicolas. J'avais pas réalisé en lisant Sempé à quel point son monde était ignoble, dégoulinant, gerbant. Le procès "Amélie Poulain vs La réalité qui fait mal" au sujet des taggeurs de Montmartre c'était vraiment rien à côté. Mais bon, la différence, je suppose, est que personne n'est allé voir Le petit Nicolas.
Le ruban blanc 144 min : mais quelle folie M. Haneke de faire un film aussi long. Il faut dire que pour parler des Racines du Mal, ça demande au moins du noir et blanc et de l'Allemagne version pré 1ère guerre mondiale. Au moment où l'Europe est sur le point de basculer, des crimes étranges frappent la petite communauté d'un village isolé. On ne saura jamais qui sont les coupables mais gageons qu'ils sont multiples et pas forcément majeurs. Car chez Haneke, le Mal est autant chez l'innocent chatié que chez les parents sadiques et autoritaires. Le Mal est à la racine, pas la peine de chercher la réponse, le fruit est pourri depuis bien longtemps. Ca c'est la vision du monde de M. Haneke. Pas très raccord avec mon humeur du moment qui serait plutôt guizougazougouzou.