Sky is the limit
Là normalement, il devrait y avoir une critique de Mirrors. Ou plutôt, ça fait plus de deux semaines qu’il devrait y avoir une critique de Mirrors. Mais rien à faire, je ne peux pas l’inventer, j’ai passé 76 % du temps de ce film terrifiant à être terrifiée sous mon pull les yeux fermés.
Passons donc à l’actualité brûlante du moment grâce à mes réflexions du 36ème étage d’un gratte-ciel de Manhattan avec une vue imprenable sur la crise financière. Tadam. C’est marrant, je sens que ça ne vas pas nous empêcher d’être au raz des pâquerettes.
D'abord il faut bien se rendre compte que les projections et fantasmes que nous faisons du monde de la finance sont incohérents per se. D'une part, l'image véhiculée du trader type est celle d'un jeune homme soumis à des pressions telles qu'il doit le plus souvent recourir à diverses béquilles chimiques. C'est triste mais c'est ainsi. D'ailleurs, avec certains dosages ça peut même devenir funcky. D'autre part, un des grands reproches fait aux transactions de la sphère financière est le manque de vision long terme avec une recherche immédiate de profits. En gros, dans le monde des clichés, on demande aux traders d'appliquer à leur job ce qu'ils sont incapables de faire sur leur propre vie, soit une anticipation de plus de cinq, sept ans. C'est dire, même théoriquement, ça ne peut pas marcher.
Passons donc à l’actualité brûlante du moment grâce à mes réflexions du 36ème étage d’un gratte-ciel de Manhattan avec une vue imprenable sur la crise financière. Tadam. C’est marrant, je sens que ça ne vas pas nous empêcher d’être au raz des pâquerettes.
D'abord il faut bien se rendre compte que les projections et fantasmes que nous faisons du monde de la finance sont incohérents per se. D'une part, l'image véhiculée du trader type est celle d'un jeune homme soumis à des pressions telles qu'il doit le plus souvent recourir à diverses béquilles chimiques. C'est triste mais c'est ainsi. D'ailleurs, avec certains dosages ça peut même devenir funcky. D'autre part, un des grands reproches fait aux transactions de la sphère financière est le manque de vision long terme avec une recherche immédiate de profits. En gros, dans le monde des clichés, on demande aux traders d'appliquer à leur job ce qu'ils sont incapables de faire sur leur propre vie, soit une anticipation de plus de cinq, sept ans. C'est dire, même théoriquement, ça ne peut pas marcher.
La suite demain au prochain épisode ou comment l'argent publique va sauver Dexia de la faillite.