Girl power!
Petites vanités.
Je dois être particulièrement mimie aujourd'hui. Pour preuve, en l'espace d'une journée mon chef m'a offert une boîte de chocolats, un contrôleur de la ratp m'a accompagnée tout un trajet parce que je n'avais pas de billet et que "ce serait dommage que je me fasse attrapée quand même!", et pour finir, le monsieur à qui j'ai demandé de prendre mon quatre heures sur sa note pour squizzer la queue du "Bonne journée" me l'a grâcieusement offert.
Mais bref, ceci n'est pas un blog sur ma vie qui devient si facile avec un wonderbra, mais un blog sur le cinéma. Et l'évènemement du moment, c'est bien sûr le film dérivé de la série culte sur quatre new yorkaises libérées. Vous voyez peut-être de quoi je veux parler? Non parce que moi, je n'avais jamais vu. Et c'est donc l'esprit léger et réjoui à l'idée de pouvoir éviter de me taper les saisons 1 à 10 en compressant un peu tout ça en 2:25 que je me dirigeais vers l'ugc ciné cité des halles - parce qu'il faut aider les petites salles de quartier - où curieusement le mec de la caisse m'a fait payer ma place. Mais c'était hier.
Film fleuve au long court, Sex in the Kiky reprend les thématiques chères à la série comme le sex, les fringues, NYC, le girl power, le judaïsme, laissant développer leurs méandres sans jamais donner la solution, ni la démonstration. A l'opposé du calcul glacé sur les chances de réussite du mariage de Carrie, les réponses sont emportées par le courant narratif. Film ô combien riche, film ouvert qui appelle la discussion, film disert mais pas prolyxe, film livre.
(oh ciel, ça marche aussi!)(vive la critique unique pour film long!)
Sinon, j'ai trouvé ce film enthousiasmant (la scène où samantha sort la deuxième bouteille de champagne, j'aurais pas dit mieux), seulement à la quarantaine force est de constater que c'est plus Fringues&the city que Sex. Que de délices merveilleux me réserve mon futur.
Je dois être particulièrement mimie aujourd'hui. Pour preuve, en l'espace d'une journée mon chef m'a offert une boîte de chocolats, un contrôleur de la ratp m'a accompagnée tout un trajet parce que je n'avais pas de billet et que "ce serait dommage que je me fasse attrapée quand même!", et pour finir, le monsieur à qui j'ai demandé de prendre mon quatre heures sur sa note pour squizzer la queue du "Bonne journée" me l'a grâcieusement offert.
Mais bref, ceci n'est pas un blog sur ma vie qui devient si facile avec un wonderbra, mais un blog sur le cinéma. Et l'évènemement du moment, c'est bien sûr le film dérivé de la série culte sur quatre new yorkaises libérées. Vous voyez peut-être de quoi je veux parler? Non parce que moi, je n'avais jamais vu. Et c'est donc l'esprit léger et réjoui à l'idée de pouvoir éviter de me taper les saisons 1 à 10 en compressant un peu tout ça en 2:25 que je me dirigeais vers l'ugc ciné cité des halles - parce qu'il faut aider les petites salles de quartier - où curieusement le mec de la caisse m'a fait payer ma place. Mais c'était hier.
Film fleuve au long court, Sex in the Kiky reprend les thématiques chères à la série comme le sex, les fringues, NYC, le girl power, le judaïsme, laissant développer leurs méandres sans jamais donner la solution, ni la démonstration. A l'opposé du calcul glacé sur les chances de réussite du mariage de Carrie, les réponses sont emportées par le courant narratif. Film ô combien riche, film ouvert qui appelle la discussion, film disert mais pas prolyxe, film livre.
(oh ciel, ça marche aussi!)(vive la critique unique pour film long!)
Sinon, j'ai trouvé ce film enthousiasmant (la scène où samantha sort la deuxième bouteille de champagne, j'aurais pas dit mieux), seulement à la quarantaine force est de constater que c'est plus Fringues&the city que Sex. Que de délices merveilleux me réserve mon futur.