Tu es ma petite salope occitane, je suis ta pomme d'amour
Ecrire des critiques de films, c'est bien. Mais partir en vacances, il n'y a pas à tortiller, c'est mieux. Par contre, ce qui est franchement déconseillé par la médecine douce, c'est de tenter d'écrire des critiques après être partie. Parce que suite à ça...
nota bene : la mode automne-hiver sera aux crampons cette année. Préparez vous ô fashion, ô victimes. Sinon, une autre fois je vous dirai combien là haut c'est comme de la poudre. Je vous dirai la blanche. Mais une autre fois, parce que là rien que d'y penser j'ai des petits frissons de manque et le bout du nez un peu gelé il faut le reconnaître.
(pourtant, c'est pas faute de n'avoir pas voulu y aller) :
nota bene : il y a une poulette mouillée sur cette image (en fait, elle pressent juste les risques d'avalanches)(c'est tout), sauras-tu la reconnossoire?
...et puis à ça...
nota bene : bon là, j'exagère vaguement mais en gros il y avait la mer aussi. Mais c'était autre part. On aurait dit le Sud et c'était joli.
...dire un truc de pertinent sur Wall-e ou Kung Fu Panda il faut longtemps se lever de bonne heure. Tu te souviens confusément que tu n'avais même pas l'alibi du filleul et que tu y étais aller à l'issue de ton plein gré mais c'est à peu près tout.
Le troisième film a été un peu plus marquant puisque Gomorra mérite largement le détour. Esthetiquement irréprochable, ce docu fiction sur la mafia dans les banlieues de Napoli n'a pas dû être sponsorisé par l'office du tourisme. Vous rendez vous compte, Naples, la ville du crime, celle que les gentils baroudeurs venus d'Amsterdam évitent soigneusement, celle dont le nom même fait trembler au moins Little Italy. Bref, c'était pas tout à fait comme dans mon souvenir. Il fallait en avoir le coeur net, il fallait y retourner. Donc après une semaine passée dans le golf je t'assure que tu peux tranquillement oublier ton sac dans un restaurant, ta tente sur un quai, ils attendront sagement ton retour. Tu peux aussi traîner dans les banlieues sordides, les gens s'arrêteront d'eux mêmes pour te prendre en stop. Tu peux te ballader dans les ruelles à minuit passée, la ville est remplie de gamins de quinze seize ans qui traînent leur mal de vivre devant les marchands de glaces et les pizzaioli. L'analyse de mes collègues est que là où reigne le crime, la paix sociale est assurée. Mon analyse est que Sète et ses bas fonds sont plus craignos.
Il y avait bien un quatrième film mais j'avoue je sèche un peu. Et puis là, c'est l'heure de faire mon cartable, parce que drrrrrriiiiiiiiiiiinnnnng c'est la rentrée. Melody is back. Yeah.
nota bene : la mode automne-hiver sera aux crampons cette année. Préparez vous ô fashion, ô victimes. Sinon, une autre fois je vous dirai combien là haut c'est comme de la poudre. Je vous dirai la blanche. Mais une autre fois, parce que là rien que d'y penser j'ai des petits frissons de manque et le bout du nez un peu gelé il faut le reconnaître.
(pourtant, c'est pas faute de n'avoir pas voulu y aller) :
nota bene : il y a une poulette mouillée sur cette image (en fait, elle pressent juste les risques d'avalanches)(c'est tout), sauras-tu la reconnossoire?
...et puis à ça...
nota bene : bon là, j'exagère vaguement mais en gros il y avait la mer aussi. Mais c'était autre part. On aurait dit le Sud et c'était joli.
...dire un truc de pertinent sur Wall-e ou Kung Fu Panda il faut longtemps se lever de bonne heure. Tu te souviens confusément que tu n'avais même pas l'alibi du filleul et que tu y étais aller à l'issue de ton plein gré mais c'est à peu près tout.
Le troisième film a été un peu plus marquant puisque Gomorra mérite largement le détour. Esthetiquement irréprochable, ce docu fiction sur la mafia dans les banlieues de Napoli n'a pas dû être sponsorisé par l'office du tourisme. Vous rendez vous compte, Naples, la ville du crime, celle que les gentils baroudeurs venus d'Amsterdam évitent soigneusement, celle dont le nom même fait trembler au moins Little Italy. Bref, c'était pas tout à fait comme dans mon souvenir. Il fallait en avoir le coeur net, il fallait y retourner. Donc après une semaine passée dans le golf je t'assure que tu peux tranquillement oublier ton sac dans un restaurant, ta tente sur un quai, ils attendront sagement ton retour. Tu peux aussi traîner dans les banlieues sordides, les gens s'arrêteront d'eux mêmes pour te prendre en stop. Tu peux te ballader dans les ruelles à minuit passée, la ville est remplie de gamins de quinze seize ans qui traînent leur mal de vivre devant les marchands de glaces et les pizzaioli. L'analyse de mes collègues est que là où reigne le crime, la paix sociale est assurée. Mon analyse est que Sète et ses bas fonds sont plus craignos.
Il y avait bien un quatrième film mais j'avoue je sèche un peu. Et puis là, c'est l'heure de faire mon cartable, parce que drrrrrriiiiiiiiiiiinnnnng c'est la rentrée. Melody is back. Yeah.